Qui sommes-nous ?
Découvrir l’Œuvre des vocations
L’Œuvre des Vocations est missionnée par les évêques des 8 diocèses de l’Église Catholique en Ile de France : Paris, Nanterre, Versailles, Meaux, Créteil, Saint-Denis, Pontoise et Evry.
C’est une œuvre d’Eglise, érigée en fondation canonique autonome, sans personnalité juridique civile selon le droit français.
Elle est abritée au sein de l’Association Diocésaine de Paris.
Elle est située 15 rue des ursins 75004 Paris
Quelle est notre mission ?
- Financer la formation des séminaristes : il y a près de 150 séminaristes dans les 8 diocèses d’Île-de-France
- Assurer le soutien de la pastorale des vocations masculines et féminines sous la responsabilité de chaque diocèse, avec la présence dans chacun d’eux, d’un prêtre responsable du Service des vocations et d’un prêtre responsable de l’accompagnement des séminaristes. Une religieuse assure le soutien religieux pour les vocations féminines.
- Publier le magazine Vocations au service de toutes les vocations de l’Église, plus particulièrement les vocations consacrées. Cette publication est diffusée 3 fois par an aux bienfaiteurs et dans des lieux d’accueil. Elle propose dans chaque numéro un dossier sur une manière de répondre à l’appel de Dieu de façon concrète et une grande interview qui peut permettre de trouver son propre chemin et la force pour y engager sa vie.
L’équipe
Père Emmanuel Tois
|
|
François Rochmann
|
|
Véronique Lejeune
|
|
Sophie Mattei
|
|
Laure de Torquat
|
|
Catherine Rispal
|
et les fidèles bénévoles : Marie-Geneviève, Claude-Marie, Geneviève, Patricia, Denise, Hélène, …
pour garder le lien et recevoir des nouvelles des séminaristes d’île-de-France
Où sont formés les séminaristes ?
Le choix est fait par l’évêque en fonction de l’histoire personnelle du séminariste et de son attente spirituelle.
Par exemple au Séminaire St Sulpice d’Issy-les-Moulineaux, au Séminaire des Carmes à Paris, au Séminaire diocésain de Paris ou au Séminaire diocésain de Versailles.
Au préalable, ils doivent effectuer une année de fondation spirituelle à Paris à la Maison St Augustin ou à Versailles à la Maison St Jean-Baptiste
Ensuite 6 années partagées entre études théologiques et formation en paroisse (catéchèse, groupe de préparation au baptême, etc.).
Dans ces 4 séminaires sont aussi reçus des jeunes venant de l’étranger ou d’autres régions de France.
Les cours ont lieu soit au Séminaire, soit à l’Institut Catholique de Paris, soit à l’Ecole Cathédrale au Collège des Bernardins.
Combien coûte la formation d’un séminariste ?
La formation d’un futur prêtre revient à 33.000€ par an, soit 635 € par semaine ou 90 € par jour.
Ce coût comprend à la fois l’hébergement et la nourriture, les frais d’études, une indemnité pour les dépenses personnelles (transports, livres, vêtements), la protection sociale, les frais de pèlerinage et de retraite, et l’entretien des bâtiments dédiés aux séminaristes.
Le mot du Directeur de l’Œuvre des Vocations
« Que faut-il pour qu’un jeune homme qui a entendu l’appel de Dieu et y répond généreusement devienne prêtre ? Une fois son appel reconnu par l’Eglise, il doit suivre une formation – humaine, spirituelle, intellectuelle et pastorale – pendant des années.
Or, pour former un prêtre, une institution, des professeurs et des directeurs spirituels sont nécessaires mais ne suffisent pas. Il faut aussi un peuple pour porter le candidat dans la prière, accompagner sa découverte des formes d’apostolat dans l’Eglise et lui apporter les moyens matériels de sa formation. Dans l’Eglise, aucune vocation n’existe hors sol, aucun prêtre ne peut se dire qu’il s’est formé tout seul, en autodidacte ! L’Eglise est une mère qui accueille, nourrit, forme et éduque ceux que Dieu appelle pour exercer le ministère apostolique.
Voilà pourquoi au XVIIe siècle, en même temps que se construisaient en France les premiers petits et grands séminaires (du latin seminarium, pépinière), des bienfaiteurs se mobilisaient et constituaient des œuvres propres à financer ces institutions et à assurer les bourses nécessaires à ceux dont les familles ne pouvaient payer les frais de ces études. C’est ainsi qu’est née en 1644 la Bourse cléricale, origine de l’Œuvre des Vocations »
Mgr Emmanuel TOIS, Vicaire Général du Diocèse de Paris
Comment aider l’Œuvre des vocations ?
L’Œuvre des Vocations compte sur l’aide de chacun pour financer la formation des futurs prêtres. L’enjeu et les besoins sont tels que tous les dons ou legs, quelle que soit leur valeur, même très modeste, sont importants.
Les séminaristes ne sont pas dans une structure de luxe mais dans une structure de services où ils prennent en charge la vie ordinaire d’une maison, comme dans une famille.
Découvrez
le magazine
Vocations
C'est une publication trimestrielle publiée par l’Œuvre des Vocations au service des donateurs et des vocations en Ile-de-France
Et retrouvez les nouvelles des séminaristes d'Ile-de-France en vous abonnant à notre lettre d'informations
Inscrivez-vous à notre lettre pour recevoir les enseignements de Carême et d'Avent.